Au début du XXème siècle, le chef-lieu du département n'avait que de médiocres atouts touristiques : sa situation près des débouchés de deux vallées parmi les plus belles du Cantal, celle de la Jordanne et celle de la Cère et ses relations facilitées alors par le chemin de fer. Depuis, la ville est arrivée à offrir un cadre et un genre de vie très agréable à ses 30000 habitants et aux visiteurs : première ville sportive une année, première ville fleurie une autre.
L'abbatiale
Saint-Géraud Les saisons y sont
vraies, le froid vif de l’hiver n’a d’égal que le soleil des étés sans
nuages. Les brumes sont éphémères, l’air léger et les ciels sculptés de
couleurs. Située à 44°91 de
latitude nord, Aurillac est juste au sud du 45 ème parallèle qui partage l'hémisphère
nord en deux ( Milan, Turin et Venise sont au nord de ce parallèle !). Traversée par la Jordanne, qui longe les façades aux allures italiennes des maisons de tanneurs, la ville en s’étendant vers les vallons qui mènent à la Châtaigneraie, prend des accents et des couleurs de sud-ouest.
Symbole de la ville à
la campagne, Aurillac allie la modernité à la tradition, le passé au futur,
l'authenticité à la découverte. La tête bien calée sur les Monts du Cantal, accoudée à 631 mètres sur la rondeur du Puy Courny, privilégiant la qualité de vie, la cité du Pape Gerbert a réussi à conserver ses racines, tout en se projetant dans un XXIème siècle qui ne lui fait pas peur. Ces
dernières années, elle a su se transformer pour aborder au mieux les enjeux
de demain à l’image de sa nouvelle place du Square, de son centre aquatique,
de sa grande halle pour l’organisation de concerts et de son engagement pour
le développement durable par le biais de son « Agenda 21 », comme 21e
siècle. Pour en savoir plus |
