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Marie Payet Miss Réunion 2011 |
Une
localité sur deux porte un nom de saint, témoin de l'influence de la
religion au cours des siècles. Les Réunionnais vont à l'église, mais
certains d'entre eux pratiquent aussi la magie noire. A une époque, les
esclaves des plantations de café représentaient 80% de la population.
Depuis lors, l'île est devenue un point de rencontre de nombreuses
cultures, tout en gardant son atmosphère typiquement française.
Actuellement diverses races se côtoient en un tableau coloré :
Européens, Africains, Chinois, Tamouls ou «Malabars», et Indiens
musulmans connus comme «z'Arabes». Une grande partie d'entre eux
travaille à la production de sucre de canne et de rhum, de vanille et
d'essences précieuses utilisées en parfumerie.
A lui seul, le parfum des
tamariniers suffirait pour attirer plus d'un d'entre nous dans ce
département français inoubliable. |
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Seule
ombre au tableau : les cyclones qui peuvent se déchaîner avec des vents de 300 km/h,
dévastant les plantations et arrachant les toits des maisons. Heureusement, les
techniques modernes de prévision permettent d'avertir la population suffisamment à
l'avance.
Le passage du cyclone Gamède fin
février et début mars 2007
La musique est très importante à la Réunion
On écoute bien sûr tous les genres que l'on rencontre en Métropole mais aussi les deux types de musique traditionnelle que sont le maloya et le séga.
Cliquez sur l'instrument pour en savoir plus et écouter la musique réunionnaise