Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par WebAnalytics Sainte-Marie-de-Ré / La Noue


Sainte-Marie-de-Ré est l'un des villages les plus anciens de l'île ; sa construction remonterait à l'époque médiévale. C'est aussi la commune la plus peuplée, elle englobe le hameau de La Noue et s'étend sans interruption le long de la côte sud de l'île, de la pointe de Chauveau jusqu'à la plage des Grenettes.
Sainte-Marie attire depuis quelques années de plus en plus d'habitants et de vacanciers. Ce village calme et familial, marqué par son église ornée d'un clocher datant du XVème siècle, est dotée des ingrédients qui font le succès des villages rétais : marché, petits commerces, cafés/restaurants, maisons basses et dédale de ruelles étroites et de venelles fleuries de roses trémières.

Sa côte est bordée de plages où se découvrent à marée basse les vestiges de nombreuses écluses à poissons, on peut également y voir de nombreux blockhaus du Mur de l'Atlantique.
L'estran rocheux aux alentours est un endroit idéal pour pratiquer la pêche à pied. Des plages de sable plus accueillantes pour la baignade jouxtent également le village.

Entre mémoire médiévale et richesses naturelles exceptionnelles, Sainte-Marie mérite son adhésion au réseau des Stations Vertes depuis 2000. La charte de ce label valorise des destinations touristiques au développement maîtrisé, (600 partout en France), offrant les services et les plaisirs attendus dans l'univers Nature.
 

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

Construite sur les ruines du château d'Eudes d'Aquitaine au XVIIème siècle, elle fut détruite plusieurs fois durant les guerres de religion. Restaurée puis remaniée en 1627 et en 1862, elle a conservé son clocher dont la flèche gothique date du XIVème siècle.
Servant jadis d'amer, la vue du haut de son clocher est exceptionnelle.
 



 



 


 


 


 


 


 

 

La chapelle Saint-Sauveur

Selon la légende, cette chapelle ex-voto aurait été édifiée par une grande dame espagnole rescapée d'un naufrage en 596.
En réalité, elle fut construite en 1838 sur les ruines d'un prieuré clunisien médiéval détruit à la Révolution. Néanmoins, elle fait l'objet d'un pèlerinage effectué chaque année le 6 août.



 

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